Dernières publications
Comment se procurer nos ouvrages ?
• Les publications de la SHTI peuvent se consulter à la bibliothèque municipale de Dijon (Département Patrimoine et Étude, 3 rue de l’École de Droit) et aux Archives départementales de la Côte-d'Or (8 rue Jeannin, Dijon).
• On peut aussi se procurer nos dernières parutions à l'Office de tourisme ou à la librairie Mots de Plume à Is-sur-Tille.
• Tous nos ouvrages encore disponibles peuvent vous être envoyés par voie postale, après règlement par chèque à l’ordre de SHTI, à envoyer à :
René Perrat, 2 rue de la Sablière 21120 Marcilly-sur-Tille.
N'oubliez pas de préciser vos coordonnées :
Nom ........................................................................... Prénom ...........................................................................
Rue ............................................................................ N° ..............................
Code postal : ............................................ Ville : ...........................................................................
Nbre d’exemplaires : ......... € x [prix de l'ouvrage] = .......... + Frais de port : 9 € pour 1 exemplaire, 10 € pour 2. Au-delà, nous consulter – TOTAL = ............
Grancey-le-Château aux 19e et 20e siècles, au fil des évènements et des habitants
Auteur : Jacques Michaut
HS2460 • Prix 12 €
Grancey vous intéresse ? Village avec un château perché sur son éperon, entouré de murailles, il eut longtemps un pied en Bourgogne et un pied en Champagne... Autrefois chef-lieu de canton, il s'est endormi, ses commerçants ou artisans disparaissaient peu à peu. Il y eut deux boulangers, quatre épiceries, une boucherie, un bourrelier, un maréchal-ferrant, deux menuisiers scieurs de long, un notaire... et bien sûr un curé. Il se disait malicieusement à Grancey qu'on aimait bien y compter pompiers et curé, mais pas forcément s'en servir ! Compte tenu de son site et de son histoire, on pourrait parler de « la belle endormie ». Mais, heureusement, avant de disparaître à leur tour, mes plus proches ancêtres ont eu l'excellente idée de mettre par écrit, parfois avec verve et quelques clins d'œil, des bribes d'Histoire et de « petites histoires » dont quelques-unes vous feront certainement sourire !
Jacques Michaut
Edgar Degas
Auteur : Jacques Villand
HS2461 • Prix 12 €
Edgar Degas (1834-1917) a été, pendant une trentaine d’année, très lié à Pierre Georges Jeanniot (1848-1934), le peintre connu pour ses scènes militaires saisissantes et ses dessins humoristiques. Cette proximité donnera lieu a des rencontres régulières, à Paris et à Diénay, en Bougogne. Un regard croisé sur ces deux artistes permet de mieux cerner les thèmes communs et les styles propres à ces deux peintres, mais aussi les ressorts de leur amitié et de leur admiration réciproque. Et Henriette Jeanniot ne sera pas pour rien dans les rencontres des deux artistes.
Is-sur-Tille et Dijon ont une rue Georges Serraz... Mais qui était-il?
Auteur : Christian Baujard
HS 2359 • Prix : 18 €
Découvrez la vie et l’œuvre de cet artiste de talent, né à Is-sur-Tille en 1883, peintre portraitiste à Dijon jusqu’en 1921, puis sculpteur d’art religieux à Paris. Connu nationalement pour ses représentations monumentales du Christ et de la Vierge, il réalise dans ses ateliers un grand nombre de statues pour les nouvelles églises à Paris, en Ile de France, mais aussi dans plusieurs régions, dont la Bourgogne.
Georges Serraz apparaît comme un sculpteur majeur parmi les artistes d’art sacré du xxe siècle. Il a été en même temps un éditeur d’œuvres d’art sacré. Il a ainsi fait partie de cette profession de fabricants qui ont pourvu les églises de France de statues moulées dans des styles assez proches.
Sa maîtrise du béton moulé lui a permis de se lancer dans la construction de statues monumentales, où il fait figure de pionnier dès la fin des années 1920. Il s’est aussi spécialisé dans les dioramas, un domaine où aucun autre artiste ne semble pouvoir rivaliser avec lui par l’étendue de ses créations, ni par la vitalité de son inspiration. Ces vastes chantiers ont été rendus possibles par son génie d’entrepreneur à la tête d’ateliers importants, par son audace pour relever d’improbables défis et par une confiance tranquille dans un talent artistique conforté par son engagement religieux.
Cette biographie est le fruit de nombreux entretiens avec le fils de l’artiste, Michel Serraz. Elle s’appuie sur les archives familiales et sur la visite de lieux qui contiennent les œuvres du sculpteur.
Bulletin n° 21
Année 2022 • 80 pages • BU2221 – Prix 15€
Sommaire : • L’exposition « Vieil Is » en 1973 • Jean Jouard, seigneur d’Échevannes ? • Un four à chaux dans notre canton • L’usine électrique de Marcilly-sur-Tille • Digitations sur carreaux en terre cuite • Du champ de tir à l’aérodrome • Son ancêtre a côtoyé la grande histoire • Pasteur et la famille Serraz • Un grand logis à Salives : La maison dite « des templiers »
Le succès ne date pas d’aujourd’hui pour les évocations des traditions et des métiers d’antan, comme en témoigne le récit d’une exposition à Is-sur-Tille dans les années 1970.
Mais on aurait tort de penser que la vie locale est toujours en marge de la grande histoire. On découvre aussi dans ce bulletin comment une habitante de Poiseul-les-Saulx avait pour ancêtre un proche du Duc d’Enghien, prince du sang sommairement exécuté par Napoléon Bonaparte. On retrouve un artiste né à Is-sur-Tille, qui s’est illustré en s’attachant à la famille du grand Pasteur. On frémit en suivant le président du Parlement de Bourgogne, portant le titre de Seigneur d’Échevannes, jusqu’à son assassinat par un Dijonnais parce qu’il était passé du service de Charles le Téméraire à celui du roi de France. Beaucoup plus près de nous dans le temps, un photographe issois immortalise le crash d’un avion près de Chaignay, un village marqué par l’aviation militaire.
Les constructions ne sont pas en reste pour livrer, à qui sait les lire, les vestiges d’une activité passée : un four à chaux dans notre canton, une usine électrique à Marcilly-sur-Tille, une maison ancienne de Salives qui a pu appartenir aux Templiers. Et l’on apprend que toutes les traces du passé ne sont pas l’apanage des hommes, comme le montrent ces traces d’animaux et de végétaux inscrites dans le sol des demeures anciennes...
Autant de thèmes abordés qui nous aident à mieux comprendre les ressorts des motivations humaines.
L'église de Marcilly-sur-Tille
Auteur : Serge Thozet
HS2257 – Prix 15 €
Dans cet ouvrage, Serge Thozet nous invite à le suivre dans une présentation du village de Marcilly-sur-Tille, avec un rappel historique sur l’enclave champenoise de Til-Châtel, Marcilly et Échevannes.
Nous entrons dans l’’église de Marcilly, placée sous le vocable de saint Maurice, pour découvrir son origine, son architecture, son mobilier, les travaux du XVIIIe siècle à aujourd’hui, mais aussi la famille Millet de Marcilly, les desservants, la Fabrique, le presbytère et quelques monuments du cimetière.
Cette étude vient compléter la série d’une douzaine d’ouvrages déjà publiés sur les églises du canton d’Is-sur-Tille.
Diénay, il y a 160 millions d'années
Auteur : Jacques Villand
BU2358 – Prix 10 €
Toute la surface de la Bourgogne recouverte par une mer tropicale, quelques mètres seulement d’une eau claire et chaude... C’était la situation qui prévalait encore au milieu du Crétacé, il y a 90 millions d’années. Une vie marine foisonnante, faite d’algues, de coraux et de divers coquillages, bivalves, gastéropodes, huitres, et bien d’autres variétés, a enrichi un sédiment accumulé au fil du temps sur les fonds marins.
En observant le sol de près, géologues professionnels et amateurs font le décompte de ces espèces disparues ou transformées en d’autres formes du vivant.
Les fossiles qu’on découvre aujourd’hui localement nous renseignent sur ces lointaines époques géologiques qui ont façonné notre territoire. Jacques Villand nous accompagne dans cette quête à l’aide de nombreux exemples illustrés dans une riche iconographie.
Lucie Cousturier
Auteur : Jacques Villand • 34 pages
HS2256 – Prix 10€
Parisienne de naissance, Lucie Cousturier viendra souvent à Diénay dans la famille de son mari, Edmond Cousturier, critique d’art et collectionneur de tableaux. Grâce à lui, elle pourra fréquenter à Paris les milieux intellectuels, littéraires et artistiques. Elle devient l’élève du peintre Paul Signac, développe une technique inspirée du pointillisme pour produire des œuvres remarquées au salon des Indépendants. Farouchement anticolonialiste, elle défend avec son ami, le grand critique d’art Félix Fénéon, les arts dits « lointains » et se lie d’amitié avec des tirailleurs sénégalais qu’elle accueille dans sa maison de Fréjus en 1916. Elle voyagera aussi en Afrique et se fera écrivain pour défendre l’honneur et la mémoire de ces hommes simples et valeureux au combat pendant la Grande Guerre. Elle a également écrit des études sur les peintres qu’elle admirait.
D’un naturel timide et réservé, elle n’en sera pas moins une femme de convictions et trouvera toute sa place parmi les artistes les plus en pointe de son temps.
« Il faut redécouvrir Lucie Cousturier »
Janos Riez, professeur à l’université
de Bayreuth et de Munich.
L'embuscade de Vercingétorix, préliminaire au siège d'Alésia
Auteur : Pierre Aymard
Prix 24 €
Pierre Aymard se passionne depuis l’enfance pour l’épopée de Vercingétorix, victorieux à Gergovie avant de s’incliner devant César à Alésia. L’ouvrage qu’il publie concerne une bataille préliminaire à celle d’Alésia, mais dont le site exact n’est pas connu avec certitude. Cette embuscade gauloise aurait-elle eu lieu sur la Vingeanne, comme l’a affirmé Napoléon III ?
L’auteur, s’appuyant sur des phrases-clefs du texte latin des Commentaires de la Guerre des Gaules par César, s’est penché sur de multiples ouvrages publiés sur cette question, du XVe siècle à nos jours. Il nous livre le résultat de ses recherches tout en permettant au lecteur de se prononcer librement sur les différentes hypothèses.